septembre 13, 2024

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Une information qui circule sur les réseaux sociaux annonce une probable manifestation des anciens membres du cabinet du Gouverneur honoraire du Haut-Uele, Christophe Baseane Nangaa. Ils réclameraient plus de 20 mois d’arriérés de salaire ainsi que des indemnités de sortie. Cette initiative, qui semble vouloir exercer une pression sur le nouvel exécutif provincial dirigé par Jean Bakomito, s’apparente à une tentative de manipulation dont les instigateurs sont facilement identifiables.

Où étaient-ils durant le mandat de Baseane Nangaa ?

Une question légitime se pose : si ces 20 mois d’impayés sont bien réels, pourquoi ces membres du cabinet n’ont-ils pas dénoncé leur situation catastrophique pendant le mandat de Christophe Baseane Nangaa ? Étrangement, ce sont les mêmes individus qui, hier encore, louaient les mérites de l’ex-Gouverneur à longueur de journée, que ce soit matin, midi ou soir.

Une manœuvre pour déstabiliser Jean Bakomito ?

Il est difficile de ne pas voir dans cette manifestation une manœuvre orchestrée pour tenter de déstabiliser les institutions de la province dès le début du mandat de Jean Bakomito. Pourquoi ces revendications émergent-elles justement maintenant, alors que le nouveau Gouverneur doit déjà faire face à de nombreux défis ? Ce complot, qui vise à mettre des bâtons dans les roues du nouvel exécutif, semble bien orchestré.

La continuité de l’État : un principe mal compris

Le principe de la continuité de l’État est certes constitutionnel, mais il ne saurait être invoqué pour agir de manière anarchique, comme dans une république bananière où chacun verrait midi à sa porte. Si ces membres de l’ancien cabinet sont si attachés à ce principe, pourquoi ont-ils abandonné leurs responsabilités avant même la formation du nouveau gouvernement ? Leur tentative de faire pression sur l’exécutif provincial va à l’encontre des attentes réelles de la population du Haut-Uele.

Le Haut-Uele doit rester pacifique

Le Haut-Uele a toujours été une province pacifique, et il est impératif qu’elle ne cède pas aux caprices de certains influenceurs dont les intérêts privés ne correspondent en rien aux aspirations de la population. Ces mêmes individus, hier encore proches du pouvoir, tentent aujourd’hui de troubler l’ordre public pour des raisons égoïstes.

Le train du changement est en marche

Sous le leadership de Jean Bakomito, le Haut-Uele est en marche vers un nouvel élan. Le temps des manœuvres et des complots est révolu. Le train du changement a démarré, et tous ceux qui souhaitent voir la province avancer sont invités à monter à bord. Car, comme le dit le proverbe : « Le chien aboie, la caravane passe. »

Charly Alpha

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