Le violon ne s’accorde plus entre la ligue des jeunes unis pour le développement de la chefferie Mari-Minza et les coopératives minières chinoises oeuvrant dans cette entité en territoire de Watsa.
La persistance de ce malentendu fait suite au non respect de protocole d’accord que ces coopératives minières ont mutuellement signé avec les communautés locales impactées par ses activités de l’exploitation de l’or et victimes de spoliation de ses étangs dans certaines zones d’exploitation artisanales abandonnées occasionnant les pertes en répétition des vies humaines.
Dans une nouvelle correspondance à dater de ce mercredi 29 mai 2024 adressée à ces coopératives minières, cette structure des jeunes a formulé certaines recommandations à ces derrières afin de veiller au respect de ses engagements pris avec la communauté dans un bref délai, faute de quoi elle menace de trouver gain de cause par les autres voies de revendications.
Se référant de la lettre N.002/LJDMA/2024 du 4 avril de l’année en cours et ce , après une rencontre présidée par le chef de la chefferie Mari-Minza sa Majesté Jacques Mondogi Tsoga ,il était sortie de cette réunion les procédures de l’exécutif de certaines œuvres sociales pour la communauté impactée notamment : la construction d’un bureau pour la structure des jeunes, la construction des infrastructures , les sources d’eaux , écoles pour ne citer que celles- là.
Il sied de signaler que plusieurs organisations de la société soutiennent les démarches entreprises de cette structure de la chefferie Mari-Minza , aucun projet de l’impact visible n”est observé dans cette entité aujourd’hui quatre ans depuis l’avènement des ces coopératives minières chinoises.
Isaac Awoya
